Jeudi 25 décembre 2025. « En lui est la vie, et la vie est la lumière des hommes »

En ce Noël 2025, nous choisissons de célébrer la lumière qui éclaire l’obscurité, et la vraie vie en Christ qui nous arrache aux ténèbres de la mort.

♫ Introduction musicale

Bienvenue

♫ Chant : Venez, mes enfants

Accueil

📖 Lecture du livre d’Isaïe (9, 1-6)

Le peuple qui marchait dans les ténèbres a vu se lever une grande lumière ; et sur les habitants du pays de l’ombre, une lumière a resplendi. Tu as prodigué la joie, tu as fait grandir l’allégresse : ils se réjouissent devant toi, comme on se réjouit de la moisson, comme on exulte au partage du butin. Car le joug qui pesait sur lui, la barre qui meurtrissait son épaule, le bâton du tyran, tu les as brisés comme au jour de Madiane. Et les bottes qui frappaient le sol, et les manteaux couverts de sang, les voilà tous brûlés : le feu les a dévorés.
Oui, un enfant nous est né, un fils nous a été donné ! Sur son épaule est le signe du pouvoir ; son nom est proclamé : « Conseiller-merveilleux, Dieu-Fort, Père-à-jamais, Prince-de-la-Paix. » Et le pouvoir s’étendra, et la paix sera sans fin pour le trône de David et pour son règne qu’il établira, qu’il affermira sur le droit et la justice dès maintenant et pour toujours. Il fera cela, l’amour jaloux du Seigneur de l’univers ! Et le Verbe s’est fait chair, il a habité parmi nous, et nous avons vu sa gloire, la gloire qu’il tient de son Père comme Fils unique, plein de grâce et de vérité. Dieu, personne ne l’a jamais vu ; le Fils unique, lui qui est Dieu, lui qui est dans le sein du Père, c’est lui qui l’a fait connaître.  

Résonance

« Sur les habitants du pays de l’ombre, une lumière a resplendi. » Des pays de l’ombre sont cachés à nos regards. Venant d’autres pays, des images terribles nous parviennent, où les bombes frappent et pulvérisent tout. Pourtant, Isaïe annonce : « Tu as prodigué la joie, tu as fait grandir l’allégresse ».
En préparant cette messe, nous évoquions une année 2025 pire que les précédentes. Pourtant, le 25 décembre 2016, Kévin Vercin, de l’équipe du billet du centre pastoral, écrivait : « Le fragile espoir de Noël ». Le contexte a changé, la ville d’Alep n’est plus sous les bombes, même si l’espoir y reste fragile.

Sombre année qui s’achève. Elle a commencé dans les esprits encore endeuillés du 13 novembre ; elle s’achève dans les cris des habitants d’Alep, écrasés sous les bombes, victimes éternelles des jeux des puissants. Comment dès lors garder espoir ? Et surtout que faire, lorsque l’on voit, impuissant, les horreurs qui se déroulent sous nos yeux ? Peut-être faut-il chercher la réponse dans la fête que nous célébrons aujourd’hui : Noël.
Selon les Evangiles, le Christ est venu au monde dans la plus grande fragilité : une famille modeste, dans une étable, dans un pays sous le joug d’un tyran et sous occupation étrangère. Et déjà l’on ourdissait sa mort. Sombre époque et morbide avenir pour cet enfant à peine né au monde. Et pourtant l’on nous dit que les cieux résonnaient d’allégresse ! Peut-être parce que justement le Dieu avec nous, l’Emmanuel, n’était pas seul. Certes il n’y avait pas foule, mais il n’était pas seul, tout comme trente-trois années après il n’était pas seul non plus.
Même dans les heures les plus sombres, au pied de la croix, ou dans nos nuits hivernales, luit toujours un espoir. Celui des liens d’amitié, de compassion, d’affection que nous avons tous. La vie du Christ ne fut pas celle d’un destin solitaire, mais d’une fraternité qu’il donnait et recevait, et cela dès la toute première nuit de Noël.
Alors, comme Lui, en ce jour saint, sachons retrouver nos liens déjà existant, mais également aller de l’avant, et nous rendre le prochain de l’autre. Parce que tel est notre seul espoir, l’espoir incarné à Noël.

Eliane B., avec le billet de Kevin Vercin, Le fragile espoir de Noël

♫ Alleluia, Alleluia

Gloire à Jésus l’Emmanuel, Alléluia, Alléluia !
Prince de paix dans Bethléem, Alléluia, Alléluia !

Joie dans notre monde, un Sauveur nous est né,
Dans le coeur des hommes sa lumière a brillé.

📖 Évangile de Jésus-Christ selon Jean (1, 1-14.18)

Au commencement était le Verbe, et le Verbe était auprès de Dieu, et le Verbe était Dieu. Il était au commencement auprès de Dieu. C’est par lui que tout est venu à l’existence, et rien de ce qui s’est fait ne s’est fait sans lui. En lui était la vie, et la vie était la lumière des hommes ; la lumière brille dans les ténèbres, et les ténèbres ne l’ont pas arrêtée. Il y eut un homme envoyé par Dieu ; son nom était Jean. Il est venu comme témoin, pour rendre témoignage à la Lumière, afin que tous croient par lui. Cet homme n’était pas la Lumière, mais il était là pour rendre témoignage à la Lumière. Le Verbe était la vraie Lumière, qui éclaire tout homme en venant dans le monde. Il était dans le monde, et le monde était venu par lui à l’existence, mais le monde ne l’a pas reconnu. Il est venu chez lui, et les siens ne l’ont pas reçu. Mais à tous ceux qui l’ont reçu, il a donné de pouvoir devenir enfants de Dieu, ceux qui croient en son nom. Ils ne sont pas nés du sang, ni d’une volonté charnelle, ni d’une volonté d’homme : ils sont nés de Dieu.

Geste de lumières dans la nuit

Nous pouvons facilement lire ce premier chapitre de l’Evangile de Jean comme un récit de création qui nous parle d’un temps précis « au commencement »…  En commentant ce texte, notre ami Guy Lafon proposait de traduire le grec Ἐν ἀρχῇ par « dans un commencement », ceci afin de donner un sens de dynamique à ce prologue. Il ne s’agit pas de situer un moment du temps mais d’inclure le lecteur dans un mouvement. Jean nous propose de nous placer dès le premier verset de son Evangile sur un chemin de vie. Nous sommes invités à nous déplacer, à « aller de commencement en commencement par des commencement qui n’auront pas de fin » comme l’écrivait Saint Grégoire de Nysse dans un commentaire sur le Cantique des Cantiques. La naissance de Jésus que nous célébrons aujourd’hui nous incite à contempler l’œuvre de Dieu en action, en mouvement. En Jésus, Dieu ne se situe pas comme un moment passé, un commencement daté mais comme un processus en cours au cœur de l’humanité, en l’homme. Au cœur de notre assemblée, au pied de la parole nous allons porter des petites flammes en évoquant des situations concrètes, des femmes, des hommes, des enfants… ils poursuivent avec nous l’aventure de la vie où par la Parole, le Verbe, Dieu est présent…

Jean-Louis W.

♫
Dieu de lumière et Dieu des renaissances,
Verrons-nous resplendir au pays de l’ombre
Le jour humain de ton enfance ?
Viens éclairer nos Bethléem,
Ils s’ouvriront à l’Enfant des nuits.
EST-IL UN JOUR QUI NE SOIT NOËL,
QUAND TU NOUS DIS TES MATINS D’AMOUR ?

La lumière brille dans les ténèbres, et les ténèbres ne l’ont pas arrêtée.
La première fois que j’ai vu Astan à Médecin du monde, la détresse se lisait sur son visage déformé par la souffrance. Maltraitée et même blessée par son vieux mari à qui elle avait été vendue par son père à 17 ans, excisée la veille de son mariage, cette jeune malienne a fini par s’enfuir. Violée plusieurs fois au cours de son périple pour arriver en France, elle semblait dévastée. Maintenant elle a obtenu le statut de réfugiée, elle s’est reconstruite, physiquement et psychiquement. Elle a fait une école d’aide-soignante et elle commence son école d’infirmière, ce qu’elle souhaitait depuis longtemps.

Geneviève P.-M.

♫
Dieu de silence et Dieu du Verbe unique,
Saurons-nous reconnaître au pays de l’ombre
L’écho lointain de ta visite ?
Viens réveiller nos Bethléem,
Ils répondront à l’Enfant des nuits.
EST-IL UN MOT QUI NE SOIT NOËL
QUAND TA PAROLE EST UN CHANT D’AMOUR ?

La lumière brille dans les ténèbres, et les ténèbres ne l’ont pas arrêtée.
Dans ma famille, une deuxième naissance chez une jeune couple – une petite-nièce et son compagnon. La première naissance avait été un parcours très rude, très médicalisé depuis le tout début jusqu’à l’accouchement difficile. Le deuxième enfant est né il y a 15 jours, après une grossesse sans problème.

Hélène P.

♫
Dieu de tendresse et Dieu d’immense grâce,
Verrons-nous ton sourire au pays de l’ombre
Et l’allégresse à ton passage ?
Viens pacifier nos Bethléem,
Ils souriront à l’Enfant des nuits.
EST-IL BONHEUR QUI NE SOIT NOËL
QUAND IL EST FRUIT D’UN SI GRAND AMOUR ?

La vie était la lumière des hommes et la lumière brille dans les ténèbres, et les ténèbres ne l’ont pas arrêtée.
Malgré une situation explosive, des jeunes et des enfants de Gaza plantent des semences dans un espace à côté des tentes. Ils cultivent de petites surfaces pour soutenir les familles. Gaza la détruite. Gaza la dévastée. Mais Gaza le sourire des enfants et la volonté des jeunes.

Joëlle C.

Dieu, personne ne l’a jamais vu ; hélas il arrive que nous mettions la main sur lui pour mettre la main sur la vie des autres soi-disant en son nom ! Mais même si certains ont tenté d’effacer son nom, personne ne pourra effacer le geste de Hamed el Hamed qui a mis sa vie en jeu tout simplement pour des frères en humanité, sans se soucier de leur confession religieuse. Un immigré musulman, d’origine syrienne, a désarmé à mains nues un terroriste lié à l’intégrisme islamiste et a sauvé des juifs en pleine fête des lumières, Hanuka ! Il n’a pas revendiqué le nom de Dieu. Il me donne envie de dire d’exprimer ma gratitude et aussi de dire : Dieu soit loué pour de tels actes plus lumineux que les ténèbres !

Alexandra N.

♫
Dieu des semences et Dieu de nos genèses,
Verrons-nous s’épanouir au pays de l’ombre
Les grains livrés à ta promesse ?
Viens féconder nos Bethléem,
Ils seront prêts pour l’Enfant des nuits.
EST-IL VIVANT QUI NE SOIT NOËL
QUAND IL SE LEVE A TON VENT D’AMOUR ?

La lumière brille dans les ténèbres, et les ténèbres ne l’ont pas arrêtée.
Cette lumière éclaire le regard des hommes qui participent à la messe du D2 à Fleury Mérogis. Elle accompagne nos poignées de mains, nos échanges. Dans un environnement où le bruit est incessant, la violence jamais loin, la messe du dimanche offre à tous d’accueillir cette lumière intérieure qui soutient dans les moments difficiles. La Parole vivante rejoint chacun. La communion nous fait membres du même corps.

Eliane B.

♫
Dieu de présence et Dieu qui nous habites,
Es-tu l’homme à demeure au pays de l’ombre
L’Emmanuel qui nous invite ?
Viens réchauffer nos Bethléem,
Ils sont ouverts aux enfants des nuits.
EST-IL UN COEUR QUI NE SOIT NOËL
QUAND IL PARTAGE TA VIE D’AMOUR ?

Il a habité parmi nous
Il est l’un des nôtres sans doute pour mieux nous faire reconnaître combien c’est parmi nous que tout se joue. Pas au-dessus. Là. Ici. Maintenant. Et vers où porterais-je mon regard. Et surtout comment ? Ce soir nous pouvons le porter sur chacun de nous réunis et aussi sur tous ces jeunes venus de toute la France et région parisienne mais aussi de toute l’Europe et même d’Ukraine et même du Liban, à l’appel de Taizé pour vivre l’hospitalité réciproque, prier ensemble pour la Paix, vivre des ateliers et la rencontre des autres… Que ces jeunes nous apprennent comment, avec eux porter et soutenir notre regard sur l’avenir.

Alexandra N.

♫
Dieu des appels et Dieu qui nous précèdes,
Verrons-nous ton étoile au pays de l’ombre
Et l’humble signe des merveilles ?
Viens nous ouvrir tes Bethléem,
Ils sont offerts aux enfants des nuits.
EST-IL ERRANT QUI NE VOIT NOËL
QUAND IL CHEMINE AUX SENTIERS D’AMOUR?

Prière universelle

Un enfant nous est né, un Fils nous est donné,
Éternelle est sa puissance.

Préface

Vraiment il est juste et bon de chanter des chants de joie pour la vie que tu nous donnes, pour la lumière qui au cœur de la nuit reste présente. Elle est fragile, vacillante mais toujours là pour nous guider. En ces jours les plus courts de l’année nous la contemplons, nous avons porté au milieu de notre assemblée des petites lumières qui nous rappellent qu’en tous lieux du monde des femmes des hommes transmettent la vie, bravant ainsi les idéologies porteuses de mort. Ta lumière Seigneur rien ne peut l’arrêter. Elle a guidé ton peuple tout au long de son histoire, dans les jours de joie, comme dans les jours tristes. Isaïe nous dit que toute vie toute naissance est un commencement : avec l’enfant qui nait un nouvel avenir s’ouvre…
Nous te rendons grâce à Toi notre Dieu pour cet enfant ; nous le connaissons bien ; il est notre ami c’est Jésus, le Fils, le Verbe. Il est né un jour du temps ; il a partagé les chemins de Palestine ; il a rencontré des femmes, des hommes, annonçant ton projet d’amour pour l’humanité. Par sa vie, sa mort, sa résurrection, il nous entraine et fait de nous tous, des Filles, des Fils, tes enfants.
Pour ce Fils né de Marie, à Bethléem, dans la simplicité, en plein voyage, accompagné par Joseph, accueilli par les bergers seuls présents en cette nuit, nous unissons nos voix pour te chanter notre joie d’être des témoins de cette scène, des témoins de ton amour. Les anges, en cette nuit chantait ta gloire, ce soir nous osons participer à ce chœur céleste pour toi Dieu notre Père le seul Saint…

Jean-Louis W.

Saint, éternel est son amour  

Prière eucharistique

Dieu notre Père tu nous a réunis en cette soirée de fête, nous pensons ce soir à toutes celles et ceux qui ont fêté Noël cette année, à nos familles et amis que nous avons rencontrés et à toutes celles et ceux qui sont loin de nous. Nous désirons les rendre présent au cœur de notre prière.
Nous avons dressé la table pour l’Eucharistie, pour te rendre grâce. Le pain et le vin que nous apportons ce soir est celui de nos tables, signes du partage. Ton Esprit nous guide et ouvre nos cœurs :
+ Qu’il bénisse le pain, le vin que nous déposons devant toi afin qu’il devienne pour nous, le corps et le sang de ton Fils Jésus le Christ né de Marie arrivé en pleine nuit à Bethléem. Il est l’enfant dont parlait Isaïe fragile mais portant au fil de sa vie ton visage : « Conseiller merveilleux, Dieu-Fort, Père à jamais, Prince-de-la-Paix ». Il a été une lampe pour celle et ceux avec qui il a partagé la route, rien n’a arrêté ta lumière qu’il portait, même pas sa mort en exclu sur la croix.
La veille de sa passion il partageait le repas pascal avec ses apôtres devenus ses amis, il prit le pain sur la table de la fête, il rendit grâce, le rompit et le leur donna en disant : « Prenez et mangez-en tous : ceci est mon corps livré pour vous ». Il prit également la coupe remplie de vin, de nouveau il te rendit grâce Père pour tous tes dons et la donna à ses amis en leur disant : « Prenez et buvez-en tous, car ceci est la coupe de mon sang, le sang de l’alliance nouvelle et éternelle, qui sera versé pour vous et pour la multitude en rémission des pêchés. Vous ferez cela en mémoire de moi. »
En rappelant ce dernier repas de Jésus avec ses disciples, nous faisons mémoire de sa passion, de sa résurrection. Nous te présentons ce soir, Père le pain et le vin de la vie, le repas de la joie.

Anamnèse

Christ est venu, Christ est né, Christ a souffert, Christ est mort
Christ est ressuscité, Christ est vivant,
Christ reviendra, Christ est là.

Nous te demandons d’accepter nos offrandes, nos vies, nos travaux, nos rencontres, nos recherches… Tout ce que nous avons reçu de toi Père nous le déposons sur la table de fête de Noël.
Que le souffle de ton Esprit nous entraine, qu’il fasse de nous ton corps qu’il nous aide à construire une Eglise ouverte, fraternelle et accueillante. Que ton Eglise apprenne à être attentive aux petites lumières qui brillent dans les nuits du monde.
Nous te prions pour Léon notre pape. Nous te prions pour Laurent notre évêque, pour Emmanuel qui accompagne notre communauté et pour tous nos évêques, pour nous tous réunis en ce soir de Noël, pour la communauté paroissiale de Saint-Gabriel, la communauté de Saint-Merry Hors-les-Murs. Apprends-nous à être des guetteurs de l’aurore, à lire les signes des temps à la lumière de la foi.
Nous te prions pour et avec toutes les personnes que nous avons évoquées et qui par ces bougies sont présentes à notre prière en ce jour. Souviens-toi de nos sœurs de nos frères qui ne sont plus parmi nous, de toutes celles et ceux qui nous ont quittés à qui nous pensons particulièrement en ces jours de fête.
Et lorsque prendra fin notre parcours, accueille-nous dans ta Joie, nous vivrons alors près de toi avec Marie, Joseph, les bergers, les mages étrangers, les prophètes d’Israël comme ceux d’aujourd’hui qui nous soutiennent dans notre marche vers toi, nous pourrons alors te louer sans fin par Jésus le Christ ton Fils bien aimé…

Jean-Louis W.

Par lui avec lui et en lui
A toi Dieu le Père tout puissant dans l’unité du Saint Esprit
Tout honneur et toute gloire pour les siècles des siècles

Agnus : la Paix soit avec nous

📖 Lettre de Paul apôtre à Tite (3, 4-7)

Bien-aimé, lorsque Dieu, notre Sauveur, a manifesté sa bonté et son amour pour les hommes, il nous a sauvés, non pas à cause de la justice de nos propres actes, mais par sa miséricorde. Par le bain du baptême, il nous a fait renaître et nous a renouvelés dans l’Esprit Saint. Cet Esprit, Dieu l’a répandu sur nous en abondance, par Jésus Christ notre Sauveur, afin que, rendus justes par sa grâce, nous devenions en espérance héritiers de la vie éternelle.            

♫
Vivons en enfants de lumière,
Sur les chemins où l’Esprit nous conduit :
Que vive en nous le Nom du Père !

Bénédiction

♫ Chant : Il est né le divin enfant

Il est né le divin enfant,
Jouez hautbois, résonnez musettes.
Il est né le divin enfant,
Chantons tous son avènement.