Deux ans, même si c’est court dans le temps de l’Église, semblent déjà une éternité pour notre communauté qui se trouve privée du lieu dans lequel elle exerçait l’essentiel de ses activités et qui lui permettait de rayonner.
La nomination récente au siège de Paris de Laurent Ulrich rompt enfin avec le fâcheux cercle de l’entre-soi parisien inauguré avec Lustiger qui a su placer ses hommes et modeler pour longtemps encore le clergé de la capitale. La chronique d'Alain Cabantous
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