« Quand Dieu rend libre,/ La route s’ouvre/
Comme un rêve radieux/ Comme une cascade inespérée de rires ».
Ainsi écrivait Joseph Pierron dans un de ses « psaumes » composés pour les célébrations du Centre Pastoral Halles-Beaubourg, entre septembre 1988 et novembre 1999.
Quelle meilleure ouverture pour notre moisson de témoignages sur cette année nomade que nous venons de vivre ? Merci à Joséphine de Linde de nous l’avoir communiqué.
Vos contributions arrivent nombreuses dans la boîte mail unandeja@saintmerry-hors-les-murs.com. Et nous espérons que bien d’autres voudront partager avec nous les réflexions suscitées par la fermeture du Centre pastoral et cette année de nomadisme.
Quand Dieu rend libre,
La route s’ouvre
Comme un rêve radieux
Comme une cascade inespérée de rires.
Quand Dieu rend libre
La joie surgit
Comme un torrent
Soudain en désert d’âme.
Quand Dieu rend libre
La peine, les larmes, la servitude,
Il s’en va les semant
Dans le linceul du vent.
Quand Dieu rend libre
Le chant, la danse, la joie,
Il donne a moissonner
Pour les greniers du vent.
Joseph Pierron