L’extrême violence sous le joug de la mort n’a cessé son parcours sur la terre… rouge de la colère, rouge du sang qui coule.
Visage tourné vers le ciel, bouche frappée par la douleur,
par le souffle qui s’en va d’un corps touché par la mort, sont là,
et puis les larmes de l’espoir toujours vivant.
Deux œuvres de Damien Pasquier-Desvignes
Artiste dans l’âme, Damien Pasquier-Desvignes se consacre depuis longtemps à la sculpture, de préférence avec le marbre, mais aussi avec d’autres matières, du bronze à la terre cuite. Pour ce travail, il se partage entre Paris et Carrare, en Italie, dans les Alpes Apuanes, là où Michel-Ange allait chercher les marbres les plus précieux.
Un corps à corps quotidien avec la matière,
d’où naissent les personnages de sa comédie humaine :
clowns, prophètes, danseurs.
Entre légèreté aérienne et profondeur métaphysique.
« J’ai compris que, quand tu présentes tes œuvres,
Elena Cardenas Malacodi
tu racontes l’histoire de l’homme.
De la naissance, de l’aube jusqu’à la mort.
Et tu racontes sa force, sa beauté et sa solitude. »
Cris
L’enfant mort ou La guerre, « La mort ne sera plus » (Ap 21, 4)
https://damien-pasquierdesvignes.com
Vues agrandies possibles sur le site http://damien-pasquierdesvignes.com/project/rossolaguna
Cher Damien je suis très heureux que ces deux marbres, à la fois magnifiques et émouvants, si bien photographiés, aujourd’hui sur le site de Saint-Merry hors les murs, donnent une nouvelle chance à ton travail d’être connu et reconnu par un plus grand nombre d’admirateurs.