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Mercredi 25 décembre 2024. « Devenir enfants de Dieu »

En ce jour de Noël, nous fêtons une fragile naissance qui ne change pas seulement le monde mais change aussi chacune de nos vies en faisant de nous des enfants de Dieu. Une promesse extraordinaire que nous avons partagée en l’église Saint-Gabriel.

Michel CORRETTE : Chantons je vous prie Noël hautement – Suite 3 N°1

📖 Évangile selon saint-Luc (2, 1-14)
En ces jours-là, parut un édit de l’empereur Auguste, ordonnant de recenser toute la terre – ce premier recensement eut lieu lorsque Quirinius était gouverneur de Syrie. Et tous allaient se faire recenser, chacun dans sa ville d’origine. Joseph, lui aussi, monta de Galilée, depuis la ville de Nazareth, vers la Judée, jusqu’à la ville de David appelée Bethléem. Il était en effet de la maison et de la lignée de David. Il venait se faire recenser avec Marie, qui lui avait été accordée en mariage et qui était enceinte.
Or, pendant qu’ils étaient là, le temps où elle devait enfanter fut accompli. Et elle mit au monde son fils premier-né ; elle l’emmaillota et le coucha dans une mangeoire, car il n’y avait pas de place pour eux dans la salle commune. Dans la même région, il y avait des bergers qui vivaient dehors et passaient la nuit dans les champs pour garder leurs troupeaux. L’ange du Seigneur se présenta devant eux, et la gloire du Seigneur les enveloppa de sa lumière. Ils furent saisis d’une grande crainte. Alors l’ange leur dit : « Ne craignez pas, car voici que je vous annonce une bonne nouvelle, qui sera une grande joie pour tout le peuple : Aujourd’hui, dans la ville de David, vous est né un Sauveur qui est le Christ, le Seigneur. Et voici le signe qui vous est donné : vous trouverez un nouveau-né emmailloté et couché dans une mangeoire. » Et soudain, il y eut avec l’ange une troupe céleste innombrable, qui louait Dieu en disant : « Gloire à Dieu au plus haut des cieux, et paix sur la terre aux hommes, qu’Il aime. »

Nativité-Puccio di Simon

Michel Corette, Noël provençal – Suite 1 N°4

Accueil

Bonsoir à toutes et à tous

Nous sommes heureux de vous accueillir, nous la Communauté de Saint-Merry Hors-les-Murs, et nous sommes encore plus heureux d’être accueillis ce soir par la paroisse Saint-Gabriel et son curé Christian Malrieu, que nous remercions chaleureusement.
Depuis que le centre pastoral Halles-Beaubourg a été fondé en 1975 par le cardinal Marty, et plus encore maintenant que notre archevêque Laurent Ulrich a confirmé la mission qui nous est confiée, la Communauté place « la liturgie au cœur de sa vie, en puisant dans le partage de la Parole, dans la recherche et la créativité la force de son témoignage et un ancrage de sa foi dans le monde d’aujourd’hui ».
Lorsqu’une dizaine d’entre nous nous sommes retrouvés il y a quelques jours pour préparer cette célébration, nous avons été frappés du nombre de textes proposés par la liturgie pour nous parler de cet événement, comme s’il était nécessaire d’apporter des éclairages différents sur ce moment fondateur de notre foi. Nous en avons retenu trois, en plus du psaume.
Nous sommes entrés dans la célébration par l’Évangile de Luc, lu par Jacqueline sous la forme d’un conte : c’est l’histoire d’un enfant qui est né dans les pires conditions : loin de son foyer, dans le froid, rejeté par tous. Et la suite ne sera pas meilleure : la fuite en Égypte pour échapper au massacre, le rejet par les autorités, la mort infamante de la Croix. Et pourtant, dans ce drame originel, on annonce à quelques pauvres bergers que cette naissance est une grande joie.
Dans un instant, nous lirons le prophète Isaïe. Comme le peuple qui marchait dans les ténèbres, nous voyons une grande lumière qui s’est levée. Nous pensons bien évidemment au peuple de Syrie, pour lequel les paroles d’Isaïe résonnent tout particulièrement : « Le joug qui pesait sur lui, la barre qui meurtrissait son épaule, le bâton du tyran, tu les as brisés comme au jour de Madiane ». Nous aimerions tant que le peuple de Gaza ou le peuple d’Ukraine puissent en dire autant. Là aussi, c’est une naissance qui change tout et qui fait passer du désespoir à l’espérance.
Enfin, dans l’Évangile du jour, selon Jean, nous entrons dans une réflexion plus théologique, qui redonne du sens à tous ces événements. Une phrase a retenu notre attention ; « à tous ceux qui l’ont reçu, il a donné de pouvoir devenir enfants de Dieu ». Cette naissance si fragile ne change pas seulement le monde mais change aussi chacune de nos vies en faisant de nous des enfants de Dieu. Quelle promesse extraordinaire.

Entrons donc pleinement dans ce mystère, au nom du Père, du Fils et de l’Esprit

Vincent

📖 Lecture du livre du prophète Isaïe (9, 1-6)
Le peuple qui marchait dans les ténèbres a vu se lever une grande lumière ; et sur les habitants du pays de l’ombre, une lumière a resplendi. Tu as prodigué la joie, tu as fait grandir l’allégresse : ils se réjouissent devant toi, comme on se réjouit de la moisson, comme on exulte au partage du butin. Car le joug qui pesait sur lui, la barre qui meurtrissait son épaule, le bâton du tyran, tu les as brisés comme au jour de Madiane. Et les bottes qui frappaient le sol, et les manteaux ; couverts de sang, les voilà tous brûlés : le feu les a dévorés.Oui, un enfant nous est né, un fils nous a été donné ! Sur son épaule est le signe du pouvoir ; son nom est proclamé : « Conseiller-merveilleux, Dieu-Fort, Père-à-jamais, Prince-de-la-Paix. » Et le pouvoir s’étendra, et la paix sera sans fin pour le trône de David et pour son règne qu’il établira, qu’il affermira sur le droit et la justice dès maintenant et pour toujours. Il fera cela, l’amour jaloux du Seigneur de l’univers !

Les orgues de Saint-Gabriel

Psaume 95

Refrain : Gloria in excelsis Deo

Chantons au Seigneur un chant nouveau,
chantons au Seigneur, terre entière,
chantons au Seigneur et bénissons son nom !

De jour en jour, proclamons son salut,
racontons à tous les peuples sa gloire,
à toutes les nations ses merveilles !

Joie au ciel ! Exulte la terre !
Les masses de la mer mugissent,
la campagne tout entière est en fête.

Les arbres des forêts dansent de joie
devant la face du Seigneur, car il vient,
car il vient pour juger la terre.

Il jugera le monde avec justice
et les peuples selon sa vérité !

Refrain : Gloria in excelsis Deo

Nos mots d’espoir pour Noël

Beaucoup parmi nous partagent le bonheur de faire découvrir, très modestement la langue française à des étrangers. Je pense à un groupe de femmes, non scolarisées, vivant dans le XXème arrondissement. Elles sont pleines d’enthousiasme malgré la lassitude et la solitude, l’éloignement des leurs, les difficultés de tous ordres. « Apprends-nous à prendre un rendez-vous chez le docteur » avait demandé Malika, avec insistance. Puis chacune s’y est mise. Ce fut un coup de téléphone à l’avocat, la mairie, l’école, l’assistante sociale.
Une petite lueur de plus dans leur vie : savoir un peu mieux comment naviguer dans le monde que nous leur proposons, resserrer nos liens, élargir l’espérance d’une vie partagée plus féconde.

Blandine

Au sein d’une association qui cherche à construire une société plus juste, des personnes de tous âges ont collecté, pendant trois semaines, auprès des habitants, des jouets à offrir pour Noël aux enfants de la ville. Ensuite des affiches ont été apposées dans les halls des immeubles pour inviter à une distribution de jouets et de livres au cours d’un goûter.
Cet après-midi là, les familles ont été heureuses de pouvoir faire plaisir à leurs enfants et les enfants émerveillés ont eu du mal à choisir.
Que du bonheur pour tous : invités et organisateurs, qui malgré la grosse charge de travail, sont prêts à refaire la même action l’année prochaine, grâce à la joie vécue dans le partage et la solidarité.

Bernadette


Un jour de juillet, je rends visite à mon fils, alors en hôpital psychiatrique. Une jeune fille, frêle et toute effarouchée arrive, accompagnée d’une infirmière. C’est sa première sortie dans le parc. Les patients autour la saluent de la main. Il est interdit de la toucher. Cette toute jeune fille a été violée la semaine précédente, par plusieurs. Elle m’aperçoit et s’approche de moi. Nous échangeons un sourire. Elle me confie attendre un bébé pour Noël ; une petite fille qu’elle prénommera Sarah. Je me lève alors pour la saluer et louer sa miraculeuse force de résilience. Je lui promets notre prière.

Catherine

Eslam, journaliste palestinien de Gaza, a été blessé et surtout il a perdu ses quatre enfants, dans le bombardement ciblé de sa maison. Il a réussi à passer en Égypte et depuis peu il est en France. Il est venu à Paris récemment, avec sa femme qui tient contre son cœur le doudou de son dernier fils de 5 ans…
Pendant qu’il était enfoui sous les gravas, attendant les secours, Eslam se répétait trois mots : « volonté, espérance, reconstruction ». Il n’a pas de haine pour ses « voisins » (les Israéliens) car la haine le détruirait lui-même, dit-il, mais il a l’espoir de la paix et de la reconstruction.

Geneviève

Refrain : Gloria in excelsis Deo

📖 Évangile selon saint-Jean (1, 1-12)
Au commencement était le Verbe, et le Verbe était auprès de Dieu, et le Verbe était Dieu. Il était au commencement auprès de Dieu. C’est par lui que tout est venu à l’existence, et rien de ce qui s’est fait ne s’est fait sans lui. En lui était la vie, et la vie était la lumière des hommes ; la lumière brille dans les ténèbres, et les ténèbres ne l’ont pas arrêtée. Il y eut un homme envoyé par Dieu ; son nom était Jean. Il est venu comme témoin, pour rendre témoignage à la Lumière, afin que tous croient par lui. Cet homme n’était pas la Lumière, mais il était là pour rendre témoignage à la Lumière.
Le Verbe était la vraie Lumière, qui éclaire tout homme en venant dans le monde. Il était dans le monde, et le monde était venu par lui à l’existence, mais le monde ne l’a pas reconnu. Il est venu chez lui, et les siens ne l’ont pas reçu. Mais à tous ceux qui l’ont reçu, il a donné de pouvoir devenir enfants de Dieu, eux qui croient en son nom. Ils ne sont pas nés du sang, ni d’une volonté charnelle, ni d’une volonté d’homme : ils sont nés de Dieu. Et le Verbe s’est fait chair, il a habité parmi nous, et nous avons vu sa gloire, la gloire qu’il tient de son Père comme Fils unique, plein de grâce et de vérité.

Résonance : enfants de Dieu

Bien cher.e.s ami.e.s,

Au début de notre rencontre, nous avons entendu le récit d’une naissance. Un récit bien vivant et bien attachant.
À la suite de ce récit, nous recevons un message absolument « hallucinant » : « À tous ceux qui l’ont accueilli, il a donné le pouvoir de devenir enfants de Dieu ». Oui vous avez bien entendu : Enfants de Dieu.
Le philosophe Nietzsche reprochait aux chrétiens de ne pas avoir une « tête de ressuscité ».

Mais quelle tête ça a un « enfant de Dieu ? »

Ne craignez rien, je ne vous imposerai pas un cours de théologie dont je suis bien incapable.
Je vous propose simplement quatre visages, d’enfants de Dieu.

1 – Un accueilli-accueillant

J’aime bien l’attitude d’accueil. Elle suppose ma participation… Je réponds à une présence. Je réagis.
L’accueil suppose aussi un appel extérieur, qui ne vient pas de moi et auquel je réagis. Voici qu’un autre, un différent, certains diront un Tout-Autre… m’interpelle.
Surtout il ne faut pas que je l’enferme dans un modèle qui me conviendrait.
Oui un enfant de Dieu accueille une personne… autre… qui l’appelle.
Pour nous ce soir, cette personne autre, c’est Jésus de Nazareth qui demande à être accueilli.
Ce même Jésus ouvre la relation beaucoup plus largement : « Celui qui accueille un petit, un faible, un compté-pour-rien, … m’accueille ».
Alors tous, chrétiens et non-chrétiens, nous devenons « enfants de Dieu » en accueillant l’autre, tout spécialement le plus faible.
Un enfant de Dieu, ça accueille et ça se laisse accueillir !

2 – Un engagé-engageant

Enfants de Dieu, oui, mais Dieu, personne ne l’a jamais vu.
La vie de Jésus nous révèle Dieu, le Père, le Tout-Autre, le Tout-Amour.
Or cette vie de Jésus n’est pas neutre. Elle est engagement à construire un monde où la justice et la paix règneront.
Alors que certains voudraient cantonner les enfants de Dieu dans un monde céleste, dans des rites, dans des chapelles ou dans des dogmes, Jésus nous invite, nous enfants de Dieu, à participer, là où nous sommes, comme nous le pouvons à contribuer à la construction d’un monde plus humain. Il y a de quoi faire !
Aujourd’hui, nous enfants de Dieu, célébrons de tout notre cœur celles et ceux, chrétiens et non-chrétiens qui se mettent au service des plus abimés par la vie.
Un enfant de Dieu, ça s’engage et ça engage !

3 – Un apaisé-apaisant

Il ne s’agit pas d’ignorer les soucis, les drames dans la vie personnelle comme dans la vie du monde. Jésus en a connu pas mal.
On raconte qu’il est né loin du village de sa famille. Qu’un puissant voulait le tuer et a tué des centaines d’enfants. Qu’il a vécu toute sa vie, hors les murs, hors les castes, hors le cercle des puissants, fussent-ils très religieux. Qu’il en est mort misérablement, crucifié en dehors de la ville sainte.
Et il est aussi, nous disent ses amis, un « apaisé », certains diront un ressuscité !
En tous cas, il fut toujours, et n’est-il pas encore aujourd’hui, apaisant, relevant, réconciliant, bienfaisant, et sachant même s’émerveiller devant l’étranger !
Parfois il nous invite à l’apaisement : « Venez vivre un peu de repos », de paix.
Un enfant de Dieu ça apaise et ça accepte d’être apaisé au cœur des tourments du monde.

4 – Un confiant qui se confie

Enfants de Dieu, nous sommes nés d’un geste de confiance. Celui de nos parents. Celui de Dieu.
Chaque jour, nous naissons de la confiance qui nous est faite et de celle que nous osons partager autour de nous.
Nous l’expérimentons dans la société, dans notre communauté, dans l’Église.
Plus que jamais, la confiance, c’est vivre avec, croire avec, marcher avec…
Oui, il y a une dimension synodale dans le message de Noël.
Voici que Dieu a tellement confiance qu’il vient marcher avec nous. « Dieu avec nous ».
Et tout au long du chemin, nous nous confions les uns aux autres. Quelle merveille que l’audace de la confiance ! Et pourtant le chemin de vie est imprévisible !
Un enfant de Dieu ça fait confiance et ça ose se confier.

Comme cadeau de Noël : laissons-nous « devenir des enfants de Dieu ».
Un enfant de Dieu a le visage… d’un accueilli-accueillant… d’un engagé-engageant… d’un apaisé-apaisant… d’un confiant qui se confie.

Guy

Chant : Dieu a quitté son ciel


F280 – J. Debruynne / J. Akepsimas

La crèche “Notre-Dame” de St-Gabriel

Dieu a quitté son ciel,
ses anges et ses archanges
Tous ses grands mots étranges,
ses discours solennels,
Les ors de ses palais
Pour le coin d’une étable,
Nouveau-né vulnérable,
Son prénom, c’est la Paix.

La gloire de Dieu, la gloire de Dieu,
la gloire de Dieu, c’est l’homme !


Dieu a quitté ses lois,
ses trônes et tous ses temples,
Le marbre et les exemples,
sa couronne de roi,
Les ors de ses palais
Pour un coin de cabane,
Près d’un bœuf et d’un âne,
Son prénom, c’est la Paix.

Dieu a quitté son nom,
tous ses titres de gloire
D’encens et de victoire,
tous ses noms de sermons
Les ors de ses palais
Pour un coin de silence,
Désarmant d’innocence
Son prénom, c’est la Paix.

Prière universelle ouverte à tous

Refrain
Pour les hommes et pour les femmes,
pour les enfants de la terre,
ton Église qui t’acclame,
vient te confier sa prière.

  • je rends grâce pour le groupe de personnes que j’ai vues aujourd’hui entrer dans une église. Je ne sais si c’était aussi Noël pour eux, mais l’église les a accueillis.
  • la doyenne de l’université catholique de Bethléem exprime l’épuisement : ” Quel Noël ? Impossible de nous réjouir en ce Noël “. Seigneur, nous te prions de renouveler la confiance qui nous manque parfois où que nous soyons.
  • nos frères juifs allument, ce soir, la première bougie d’Hanoukka. Elle symbolise la lumière miraculeuse qui resplendit dans les ténèbres. Seigneur, aide ceux qui cherchent la lumière à se rencontrer malgré leurs différences pour bâtir la paix.
  • je viens de voir un documentaire sur l’Opéra de Paris qui intègre un danseur étoile et une contrebassiste de couleur. Cela m’a beaucoup touché. Merci aux administrations et autres associations culturelles d’ouvrir leur porte à la différence.

Claude-Bénigne BALBASTRE : A la venue de Noël– Suite 1, N°1

Sanctus

Photo James Coleman sur Unsplash

(J. Akepsimas)

Saint le Seigneur Dieu des vivants
Hosanna au plus haut des cieux (bis)

Le ciel et la terre sont remplis de ta gloire,
Hosanna au plus haut des cieux !
Béni soit celui qui vient au nom du Seigneur,
Hosanna au plus haut des cieux !

Anamnèse

(F. Geissler/M. Wackenheim)

Christ est venu, Christ est né
Christ a souffert, Christ est mort
Christ est ressuscité, Christ est vivant
Christ est reviendra, Christ est là (bis)

Notre Père

(Gaëtan de Courrèges, Ensemble vocal Hilarium)

Hans Memling, Anges musiciens

Je vous laisse la paix, je vous donne ma paix,
Si vous ouvrez votre cœur, alors la paix fleurira.

Je vous laisse la paix, je vous donne ma paix,
Si vous partagez le pain, alors la paix fleurira.

Claude-Bénigne BALBASTRE : Il est un petit l’ange – Noël Suisse – Suite 2, N°2

Chant : Vivons en enfants de lumière

L’entrée de St-Gabriel – 25 décembre 2024

(G14-57-1) – CFC / J. Berthier

L’heure est venue d’affermir votre cœur !
Voici le temps d’espérer le Seigneur !
Il est tout près, il vous appelle.
Il vous promet la vie nouvelle.

Vivons en enfants de lumière,
Sur les chemins où l’Esprit nous conduit.
Que vive en nous le nom du Père !

L’heure est venue de courir vers la vie !
Voici le temps de trouver Jésus Christ !
Il est présent parmi les pauvres.
Il vous précède en son Royaume.

Envoi et bénédiction

Joyeuse semaine de Noël à toutes et tous

Annonces :
Partage libre sur les textes en visio le dimanche 29 décembre à 11 h
Prochaine préparation en visio le lundi 30 décembre à 19 h, pour le zoom du dimanche 5 janvier

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