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Dimanche 29 juin 2025. « Tout ce que tu auras délié sur la terre sera délié dans les cieux »

Liés, déliés, libérés…. des liens qui nous enchaînent, nous aliènent, mais aussi des liens qui bonifient la vie, tous reliés par ce Jésus dont nous nous demandons parfois : “qui est-il pour nous ?”

Symphonie du nouveau monde : Anton Dvorak

Bonjour et bienvenue à tous. Où que vous soyez, que vous rejoignez ce moment de partage de temps en temps, pour la première fois ou tous les dimanches, merci d’être présents. Chacun de vous est important, chacun de nous fait vivre notre communauté.
Les textes d’aujourd’hui parlent de lier, de délier, d’arracher des chaînes, de délivrer.

Nous avons souvent l’impression de vivre pieds et poings liés par des décisions que d’autres prennent et qui nous entraînent : guerres, répressions, discriminations..

Il y a aussi des liens qui bonifient la vie, comme les liens d’amitié ou les liens que nous arrivons à nouer avec ceux qui ont besoin d’être aimés.

Mais pour naître, il faut commencer par couper le lien, couper le cordon qui lie mère et bébé.

Lier, délier ? Quelque chose est certain : pendant cette célébration, nous sommes liés par quelqu’un, reliés par ce Jésus dont on se demande parfois : qui est-il pour moi ?

Alors entrons y ensemble au nom du Père, du Fils et de l’Esprit Saint. 

Joëlle C.

Paroles et musique G. Moustaki

1-Ma liberté
Longtemps je t’ai gardée
Comme une perle rare
Ma liberté
C’est toi qui m’a aidé
À larguer les amarres
Pour aller n’importe où,
pour aller jusqu’au bout des chemins de fortune
Pour cueillir, en rêvant,
une rose des vents sur un rayon de lune

2-Ma liberté
Devant tes volontés
Mon âme était soumise
Ma liberté
Je t’avais tout donné
Ma dernière chemise
Et combien j’ai souffert
Pour pouvoir satisfaire tes moindres exigences
J’ai changé de pays, j’ai perdu mes amis
pour gagner ta confiance

3- Ma liberté
Tu as su désarmer
Toutes mes habitudes
Ma liberté
Toi qui m’as fait aimer
Même la solitude
Toi qui m’as fait sourire
Quand je voyais finir une belle aventure
Toi qui m’as protégé quand j’allais me cacher
pour soigner mes blessures

4- Ma liberté
Pourtant je t’ai quittée
Une nuit de Décembre
J’ai déserté
les chemins écartés
Que nous suivions ensemble
Lorsque sans me méfier
Les pieds et poings liés, je me suis laissé faire
Et je t’ai trahi pour une prison d’amour et sa belle geôlière (bis)

Photo Becca Tapert – Unsplash

Bien-aimé, je suis déjà offert en sacrifice, le moment de mon départ est venu. J’ai mené le bon combat, j’ai achevé ma course, j’ai gardé la foi. Je n’ai plus qu’à recevoir la couronne de la justice : le Seigneur, le juste juge, me la remettra en ce jour-là, et non seulement à moi, mais aussi à tous ceux qui auront désiré avec amour sa Manifestation glorieuse.
Tous m’ont abandonné. Le Seigneur, lui, m’a assisté. Il m’a rempli de force pour que, par moi, la proclamation de l’Évangile s’accomplisse jusqu’au bout et que toutes les nations l’entendent. J’ai été arraché à la gueule du lion ; le Seigneur m’arrachera encore à tout ce qu’on fait pour me nuire. Il me sauvera et me fera entrer dans son Royaume céleste. À lui la gloire pour les siècles des siècles. Amen.

Arrivée de course pour une bonne cause – Photo Peter Boccia – Unsplash

« Recevoir la couronne de justice ». J’ai beau tourner la phrase dans tous les sens, je ne la comprends pas et je dirais même qu’elle m’agace.

Et pourtant, je découvre un Paul très humain dans ce texte.

J’entends d’abord la parole touchante d’un vieil homme, qui se retourne sur sa vie qui s’achève et qui semble dire, avec humilité : « j’ai fait de mon mieux ».

Je vois aussi un homme dont la foi reste intacte, malgré toutes les épreuves qu’il a subies.
Je vois enfin un homme qui ne se met pas en avant et s’efface devant la mission. Il n’a pas écrit : « pour que je proclame l’Évangile » mais il a écrit « pour que, par moi, l’Évangile s’accomplisse jusqu’au bout ».

Oui, la Bonne nouvelle a besoin de messagers audacieux et confiants, mais le plus important reste toujours le message et non celui qui le porte.

Vincent M.

Méditation musicale

R. Félicité – Bouss : Et si j’échoue

À cette époque, le roi Hérode Agrippa se saisit de certains membres de l’Église pour les mettre à mal. Il supprima Jacques, frère de Jean, en le faisant décapiter. Voyant que cette mesure plaisait aux Juifs, il décida aussi d’arrêter Pierre. C’était les jours des Pains sans levain. Il le fit appréhender, emprisonner, et placer sous la garde de quatre escouades de quatre soldats ; il voulait le faire comparaître devant le peuple après la Pâque.
Tandis que Pierre était ainsi détenu dans la prison, l’Église priait Dieu pour lui avec insistance. Hérode allait le faire comparaître. Or, Pierre dormait, cette nuit-là, entre deux soldats ; il était attaché avec deux chaînes et des gardes étaient en faction
devant la porte de la prison.
Et voici que survint l’ange du Seigneur, et une lumière brilla dans la cellule. Il réveilla Pierre en le frappant au côté et dit : « Lève-toi vite ». Les chaînes lui tombèrent des mains. Alors l’ange lui dit : « Mets ta ceinture et chausse tes sandales ».
Ce que fit Pierre. L’ange ajouta : « Enveloppe-toi de ton manteau et suis-moi ». Pierre sortit derrière lui, mais il ne savait pas que tout ce qui arrivait grâce à l’ange était bien réel ; il pensait qu’il avait une vision. Passant devant un premier poste de garde,
puis devant un second, ils arrivèrent au portail de fer donnant sur la ville. Celui-ci s’ouvrit tout seul devant eux. Une fois dehors, ils s’engagèrent dans une rue,
et aussitôt l’ange le quitta. Alors, se reprenant, Pierre dit :
« Vraiment, je me rends compte maintenant que le Seigneur a envoyé son ange, et qu’il m’a arraché aux mains d’Hérode et à tout ce qu’attendait le peuple juif ».

Jose de Ribera, La Libération de Saint Pierre, 1639 – musée du Prado, Madrid

Le texte des Actes évoque l’état d’esprit de la société dans laquelle  les puissants tuent : ça ne choque pas trop et même ce n’est pas pour déplaire : cela peut donc continuer. Est-ce si différent aujourd’hui  ?Par ailleurs, l’évocation de Pierre emprisonné peut se comprendre ainsi : enfermé, Pierre est réveillé ; il entend, ou comprend : debout ! Lève-toi ! Prends tes affaires et va de l’avant  : retrouve les autres humains.

Ce texte aide à penser, à avoir un esprit critique : Nous vivons des temps dramatiques, avec une multitude de guerres, de non respect d’accords signés, approuvés. Pouvons-nous rêver de la Paix ?

Appel aussi à ouvrir les yeux et le cœur aux gestes, aux signes parfois minimes autour de nous, en nous aussi. Cela participe à notre avancement sur le chemin vers la construction de la Paix et une communauté en perpétuelle recherche, chemine pour rejoindre les autres…

Colette B.

Méditation musicale

Cri de Libération – Cœur lourd

Libération – Photo By Tumisu From Pixabay

En ce temps-là, Jésus, arrivé dans la région de Césarée-de-Philippe, demandait à ses disciples : « Au dire des gens, qui est le Fils de l’homme ? » Ils répondirent :
« Pour les uns, Jean le Baptiste ; pour d’autres, Élie ; pour d’autres encore, Jérémie ou l’un des prophètes ». Jésus leur demanda : « Et vous, que dites-vous ? Pour vous, qui suis-je ? »
Alors Simon-Pierre prit la parole et dit : « Tu es le Christ, le Fils du Dieu vivant ! » Prenant la parole à son tour, Jésus lui dit : « Heureux es-tu, Simon fils de Yonas : ce n’est pas la chair et le sang qui t’ont révélé cela, mais mon Père qui est aux cieux. Et moi, je te le déclare : Tu es Pierre, et sur cette pierre je bâtirai mon Église ; et la puissance de la Mort ne l’emportera pas sur elle. Je te donnerai les clés du royaume des Cieux : tout ce que tu auras lié sur la terre sera lié dans les cieux, et tout ce que tu auras délié sur la terre sera délié dans les cieux. »

Jean-Luc :

“Tout ce que tu auras lié sur la terre sera lié dans les cieux…”

Jésus s’adresse ici à Pierre.
Pour tenter d’entendre ces paroles, à première vue effrayantes, totalitaires et insupportables pour nos oreilles contemporaines, élargissons notre écoute en les entendant formulées autrement par Jean l’évangéliste : « à qui vous maintiendrez ses péchés, ils seront maintenus. » Ces paroles sont dites Pierre aux disciples rassemblés au Jour de la Résurrection (Jean 20/22-23) et s’adressent donc à tous ceux qui veulent se référer au ressuscité. 

Dans nos esprits, et nos vies, souvent ces mots résonnent comme l’expression d’un pouvoir que se sont annexés les responsables d’un système religieux, pouvoir d’interdire, de condamner, de régenter.

Et si on essayait d’écouter autrement ? S’il s’agissait d’un cadeau extraordinaire, accompagné d’une mise en garde, d’un appel à ne pas abuser du pouvoir donné ?

Marie-José :

Tout ce que tu auras délié sur la terre, sera délié dans les cieux :

Quel programme ! Imaginez un instant ce que serait le monde si nous prenions cette phrase au sérieux ! C’est, pour moi, la libération de tous, opposée à l’autorité des pouvoirs, à la force, aux puissants vis à vis desquels Jésus dit que nous ne pouvons servir Dieu et l’argent.

Voir une seule tête,  tous penser pareil, c’est lier l’autre, c’est accepter d’être lié, pour avoir la paix, la sécurité, de l’argent ou des relations. Délier, c’est permettre aux diversités d’éclore, aux arts de s’exprimer, aux initiatives de prendre corps. C’est aussi essayer de libérer les têtes des enfermements dans lesquels elles sont prisonnières. Délier, c’est accepter que nous soyons aussi importants les uns que les autres, tous aimés de Dieu.

Si la combinaison de sécurité que l’entourage nous a donnée pour notre bien, les obligations, rites ou interdits…ne nous permettent pas d’être heureux, nous sommes invités à nous en défaire !

Cela ne veut pas dire anarchie, faire ce que l’on veut, quitte à nuire aux autres ! Non, aimer son prochain signifie pour moi, lui permettre d’avoir la liberté nécessaire afin qu’il puisse donner vie à ses possibilités, trésor caché qui contribuera à la construction du monde de demain.

Jean-Luc :
Jésus invite à libérer, à remettre debout …il reprend la parole d’Osée : « c’est la miséricorde que je veux et non le sacrifice ».
 
Et en même temps, il lance un avertissement à tous ceux qui seraient tentés de s’emparer de ce pouvoir, pour tout gérer : « attention ! Tout ce que tu auras lié sur la terre sera lié », « à qui vous maintiendrez ses péchés, ils seront maintenus. » Nous pouvons complètement trahir ce pouvoir, en en faisant un pouvoir d’aliénation et de mort, en se prenant pour des représentants de Dieu et en enfermant les humains dans notre vision du monde et de Dieu, en maintenant les gens dans leurs erreurs, dans leurs péchés, dans leurs névroses !

En fait, dans ces paroles dites à Pierre et à tous les disciples, je crois entendre : vous pouvez faire exister, et vous pouvez faire mourir ! Jésus ne vient-il pas nous dire seulement : faites exister, donnez à vivre ?

Et vous que dites-vous, pour vous, qui est Jésus ?

Le Christ aux mille visages – travail de collégiens et catéchistes de Péronne (1982)

Méditation musicale

Wallace Cleaver : Délier

Quelques échos du partage : Pour vous, qui est Jésus ?

  • Le chemin, la vérité et la vie, celui que je veux suivre même si je m’échappe souvent.
  • Il me guide, il est ma force.
  • Un compagnon d’Emmaüs qui marche à côté de moi sans que je le sache toujours; il me guide et m’éclaire
  • Il est La Parole.
  • ” Dieu s’est fait homme pour que l’homme soit fait Dieu”, et pour moi Jésus, c’est ça !
  • Un libérateur et un chemin de libération qui se fait par bien des médiations, la beauté, l’Esprit, les anges… et la libération se fait sans parfois qu’on s’en rende compte.
  • Celui qui m’appelle à plus de liberté, au courage d’être soi-même, celui qui nous appelle à être vraiment heureux et pas dans les fausses joies.
  • Il est le sauveur de l’Amour, le messager de l’Amour relié à son Père et à l’Esprit, cette lumière sur le chemin.
  • Je ne sais pas qui est Jésus, mais je ne saurais pas vivre sans Lui.
  • Celui qui donne vie, la vraie Vie.
  • Moi, j’entends surtout la question que Jésus se pose, qui me renvoie à ma propre question : qui suis-je ? et m’invite à ne pas trop vite y répondre, à laisser la question ouverte… Jésus est ouverture au Monde, ouverture aux autres, à Dieu, à la Création, là où partout ailleurs on invite à la fermeture, à une identité bien affirmée… En maintenant ouverte la question cela maintient cette liberté à devenir Dieu, donc infini, ouvert, libre, aimant.
  • J’aime ce matin rencontrer un Jésus qui s’interroge sur lui-même. Je pense que Jésus découvre cette Présence qui l’habite et je trouve très réconfortant, très chaleureux, très fraternel que Jésus prenne pour lui-même cette question et pas simplement pour nous la renvoyer : qui suis-je ?
  • Il est celui que j’ai découvert un jour dans les Paroles de l’Évangile ; il est devenu mon chemin, présent quand je rencontre les autres; il est celui qui est ressuscité, qui nous lève, qui nous soulève ; il est là et il est essentiel pour moi; il nous permet de délier des obstacles, en nous ou en dehors, qui nous empêchent de nous relier les uns aux autres.
  • Pour moi, en revenant à la définition, Jésus c’est l’Oint, celui qui a reçu de Dieu tout son pouvoir et qui nous invite à le partager. C’est un auteur aussi – qui n’a pas écrit – mais dont tous les apôtres ont repris des phrases et c’est un auteur de questions ; c’est une vie de questions que je reçois de Jésus mais pas pour garder les questions ouvertes, mais pour trouver des réponses en utilisant souvent ce qu’il nous a appris : partager l’amour avec d’autres, même lorsqu’on est blessé ; trouver la bonne réponse mais qui ne sera jamais parfaite.
Lutrin – Mireille Berbonde

R/ De toutes mes frayeurs, le Seigneur me délivre.

Je bénirai le Seigneur en tout temps,
sa louange sans cesse à mes lèvres.
Je me glorifierai dans le Seigneur :
que les pauvres m’entendent et soient en fête !

Magnifiez avec moi le Seigneur,
exaltons tous ensemble son nom.
Je cherche le Seigneur, il me répond :
de toutes mes frayeurs, il me délivre.

Qui regarde vers lui resplendira,
sans ombre ni trouble au visage.
Un pauvre crie ; le Seigneur entend :
il le sauve de toutes ses angoisses.

L’ange du Seigneur campe alentour,
pour libérer ceux qui le craignent.
Goûtez et voyez : le Seigneur est bon !
Heureux qui trouve en lui son refuge !

Quelles intentions souhaitez-vous confier à Dieu et à la communauté ?
: Accueille au creux de tes mains, la prière de tes enfants

La communauté a porté dans sa prière :

  • la marche des fiertés qui a eu lieu en Hongrie hier avec de nombreux élus européens, marche pour laquelle je rends grâce comme signe de liberté et d’audace
  • tous ceux qui enseignent la Bonne Nouvelle, que ce soit vivant et porteur d’espoir !
  • toutes les victimes de tortures pour qui nous avons prié lors de la nuit des Veilleurs le 26 juin
  • tous ceux qui sont proches de la mort et qui sont angoissés, pleins de frayeurs
  • celles et ceux qui refusent d’entendre la question du Christ et qui pourtant trouvent les bonnes réponses, dans leurs relations aux autres – celles que j’aimerais avoir parfois – et qui me posent, par leur attitude, la question pour moi : et pour vous, qui suis-je ?
  • tous les migrants et leurs familles ; que nous sachions mieux les accueillir au nom de notre foi fondée sur l’altérité, pour qu’ils soient vraiment des nôtres.
  • ce temps de vacances pour que chacun (enfants, familles) puisse trouver sa bonne place, hors des tensions, dans la paix des cœurs.
  • les jeunes en période d’examen et qui pensent à leur avenir parfois avec angoisse.
  • des personnes que j’accompagne, qui souffrent de troubles psychiques ou de graves traumas, pour qu’elles découvrent la présence du Christ libérateur, qui est Vie et qui est chemin, qui écoute et qui pose des questions

Paroles : M. Scouarnec – Musique : J. Akepsimas

Si tu dénoues les liens de servitude
Si tu libères ton frère enchaîné
La nuit de ton chemin sera lumière de midi (bis)
Alors, de tes mains, pourra naître une source
La source qui fait vivre la terre de demain
La source qui fait vivre la terre de Dieu

Si tu détruis ce qui opprime l’homme
Si tu relèves ton frère humilié
La nuit de ton combat sera lumière de midi (bis)
Alors, de ton pas, pourra naître une danse
La danse qui invente la terre de demain
La danse qui invente la terre de Dieu

Si tu dénonces le mal qui brise l’homme
Si tu soutiens ton frère abandonné
La nuit de ton appel sera lumière de midi (bis)
Alors, de tes yeux, pourra luire une étoile
L’étoile qui annonce la terre de demain
L’étoile qui annonce la terre de Dieu

Si tu abats les murs entre les hommes
Si tu pardonnes à ton frère ennemi
La nuit de ta passion sera lumière de midi (bis)
Alors, de ton pain, pourra vivre une Église
L’Église qui rassemble la terre de demain
L’Église qui rassemble la terre de Dieu.

Photo rdne stock project sur Pexels

Cette célébration se termine avec cette question de Jésus : qui suis-je ? Laissons la question ouverte, découvrons la présence de Dieu en nous-mêmes, Notre Père, lui qui est chemin, vérité et vie…
Et que la bénédiction du Seigneur soit sur nous toustes, au nom du Père, du Fils et de l’Esprit.

Bon dimanche

Cette célébration de la Parole a été préparée par Colette, Vincent, Bernadette, Patricia, Marie-José, Jean-Luc, Joëlle

Rendez-vous lundi 30 juin à 19h en Visio (lien dans l’agenda du site) pour préparer la célébration eucharistique qui aura lieu dimanche 6 juillet à 18 h à Notre-Dame d’Espérance. Cette célébration prévoit un hommage à Xavier de Chalendar, alors venez nombreux.

Il y aura un Flash le 4 juillet puis un tous les quinze jours.

N’oubliez pas de nous envoyer vos coups de coeur de l’été (un paysage, un livre, une expo, un film, une rencontre), soit une dizaine de lignes et une photos. Nous les publierons au fur et à mesure (contact@saintmerry-hors-les-murs.com)

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