Le dernier livre de Ignace Berten, Quand la vie déplace la pensée croyante, est paru aux éditions du Cerf en novembre 2021. Un gros livre mais puissamment pédagogique qui apporte de l’eau au moulin des réformateurs.
Ce dominicain belge, sociologue et théologien, participe de loin aux questions très diverses abordées dans notre Atelier Familles à Saint-Merry Hors-les-Murs. L’Art, contemporain surtout, est aussi un de ses intérêts les plus vifs : il connaît bien Michel Micheau, et Maxime Kantor, un de ses peintres préférés, qui a exposé à Saint-Merry, y a donné un témoignage de Foi inoubliable, et même une toile qui est encore dans l’église.
La connaissance et la pratique du Vatican de notre ami Ignace lui permettent de soutenir énergiquement les initiatives visant à renouveler l’Église.
Dans son dernier livre[1]Ignace Berten, Quand la vie déplace la pensée croyante. Mémoires d’un théologien, Éditions du Cerf, collection Patrimoines, 620 p. 34 €, après une première partie qui concerne ses participations à des mouvements de réflexion et à des actions très concrètes, il remet en cause dans la seconde partie certains points de doctrine ou la concernant, et montre tout l’intérêt qu’il y aurait à les contextualiser pour les relire et à les exprimer autrement pour les communiquer.
Un gros livre certes mais puissamment pédagogique (il explique et argumente… sans affirmer),
qui apporte de l’eau au moulin des réformateurs…
Il a reçu beaucoup d’échos très positifs. Entre autres une lettre très chaleureuse d’un représentant de la hiérarchie alors que ses conclusions ne sont pas très « orthodoxes »…
Oui, chez les chrétiens libres et généreux, la vie peut déplacer les croyances : elle les remet à leur place, dans le fil de l’Évangile.
Présentation par l’auteur ICI
Notes
↑1 | Ignace Berten, Quand la vie déplace la pensée croyante. Mémoires d’un théologien, Éditions du Cerf, collection Patrimoines, 620 p. 34 € |
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