Catégorie : Clin Dieu
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Sacrement n’est pas ligotage
Dans un article du Monde, sont repris les propos de l'ancien évêque de Malines-Bruxelles, sur l'impossibilité sacramentelle pour un évêque de dénoncer aux autorités des criminels ayant reçu le sacrement de l'Ordre. Ce qui fait réfléchir à ce que peut bien être un sacrement. La chronique de Blandine Ayoub
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Le synode allemand nous ouvre la route
Le synode allemand vient de tenir sa troisième rencontre plénière, dans une ambiance houleuse. Grâce à son mode de fonctionnement exemplairement démocratique, au sens de l'organisation de l’Église allemande et au vrai statut de la parole des laïcs outre Rhin, c'est un vrai service qui est rendu à l’Église universelle, une route qui nous est ouverte à tous.
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Le 24 avril, sauvons la fraternité
La moitié de nos concitoyens, dont un fort pourcentage de catholiques revendiqués, sont prêts à voter pour une candidate qui joue la stratégie perverse du bouc émissaire. La fraternité est pourtant notre idéal républicain commun, valeur directement issue de l’Évangile. "Il serait terrible que l’Église renonce à parler" d'ici dimanche.
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Administration des sacrements : une brèche, enfin
L'évêque d’Essen vient d’autoriser des laïcs, et plus particulièrement des femmes, à donner le sacrement du baptême, invoquant « la capacité d’adaptation de l’Église ». Ce qui nous ouvre un espoir : nous ne serions pas forcément condamné.e.s au cléricalisme ni au patriarcat. La chronique de Blandine Ayoub.
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La concélébration superflue
Pourquoi donc concélébrer ? La doctrine officielle de l’eucharistie est pourtant bien celle-ci : tous célèbrent, l’un préside. Dans quels cas la concélébration représente-t-elle un symbole évocateur, et lequel ? Ne relève-t-elle pas le plus souvent d'un banal cléricalisme ?
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La vie en abondance
L’autre jour, une de mes amies a été très déstabilisée et peinée quand sa fille bientôt quarantenaire lui a annoncé que son compagnon de longue date et elle-même avaient décidé de ne pas avoir d’enfants, considérant l’état désastreux du monde dans lequel ils devraient les projeter. Je m’interroge : avons-nous vraiment pris la peine et le temps de jubiler de vivre ?