Catégorie : Interroger l’art contemporain
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Lettre de V&D février 2024 : les souffles de la création et les mémoires
Les artistes nous parlent avec leurs œuvres et nous les comprenons souvent, car ils sollicitent leur mémoire affective, ils exposent leur processus de création, ils pensent que l’art est un moyen de toucher les candidats à l’exil. Leur sensibilité se fait plus proche dans cette lettre de Voir et Dire du mitan de l’hiver. La chronique de Jean Deuzèmes
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Julia Margaret Cameron. La photo comme prière ?
Étonnante exposition d’une photographe du XIXe dans laquelle se retrouveraient bien des artistes contemporains. Technique, esthétique et affirmation directe d’un sens des sujets, où le christianisme d’une artiste intrépide déborde. La chronique de Jean Deuzèmes
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Thibault Lucas. Les doutes de l’artiste
Les installations du Socle sont à l’origine de multiples relations avec les passants et bien sûr les artistes. La venue d’un campement au bout de la rue a questionné l’œuvre actuelle de Thibault Lucas, Les Habitants. Avec la loi immigration qui aura des conséquences sur l’hébergement des plus pauvres, l’artiste est encore plus travaillé par le doute. La chronique de Jean Deuzèmes.
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Le Socle et ses deux futures statues. Des valeurs en jeu ?
Le Socle joue les prolongations jusqu’aux JO ! Les nouveaux projets pour 2024 témoignent d’une époque et sont en accord avec une certaine sensibilité saintmerriene. Et si vous participiez au Crowdfunding 2023 ? La chronique de Jean Deuzèmes
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Thibault Lucas, « Les Habitants » entre art et réalité
L’art trouble, les installations du Socle n’y dérogent pas, mais elles le font sur le mode de la beauté et de l’originalité. Or l’actuelle installation est questionnée par la réalité sociale d’un campement d’exilés, au bout de la rue ! Comment aborder les termes de cette confrontation ? La chronique de Jean Deuzèmes
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Lettre de V&D octobre 2023 : la voix des artistes autour de Saint-Merry
Automne : les grandes institutions culturelles ouvrent progressivement leurs expositions. Mais les galeries les ont précédées et, dans un rayon de 500m autour de Saint-Merry, elles introduisent à maintes voies de réjouissance et de réflexion. La chronique de Jean Deuzèmes
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Andres Serrano : une interprétation de Michel-Ange
The Doom Of Beauty, le destin tragique de la beauté, est une profonde réflexion visuelle sur la beauté contemporaine par ce photographe qui a défrayé la chronique. Il fait vivre autrement les sculptures religieuses du Maître de la Renaissance. Galerie Nathalie Obadia. La chronique de Jean Deuzèmes
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Et si on invitait François à un futur Collège des arts visuels ?
Alors que se prépare le texte de l’inscription renouvelée de Saint-Merry dans le diocèse et que s’y définissent des axes possibles pour le groupe « Art et création », une véritable perle est apparue : le discours du Pape François aux artistes, le 23 juin 2023. La chronique de Jean Deuzèmes
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Thaddée. La Bonne Mère et le ciel
Ses collages sont minimalistes, pleins d’humour et de poésie. Utilisant les gravures de l’Encyclopédie de Diderot et d’Alembert, elle pose son regard sur le temps présent, ses références spirituelles explicites ou discrètes sont inédites. Une coïncidence avec le voyage de François à Marseille. La chronique de Jean Deuzèmes.
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Tacita Dean. L’arbre et le poids du temps. Une allégorie de l’Église ?
Deux arbres, œuvres impressionnantes de l’artiste britannique Tacita Dean, dans la grande exposition « Avant l’orage » à la Bourse de Commerce – Fondation Pinault peuvent suggérer une réflexion sur le temps contemporain de l’Église. La chronique de Jean Deuzèmes