Étiquette : billet&chroniques

Loth, ses filles, sa femme
« Le profil de Loth n’est pas parmi les plus attrayants de la Bible. Mari d’une femme minée par la curiosité et transformée en statue de sel, père de deux filles qu’il est prêt à échanger pour sauver la loi de l’hospitalité, père et grand-père à la fois de deux enfants (et deux peuples), redoutables ennemis d’Israël. On peut faire mieux avec beaucoup moins ». La chronique biblique de Jesús Asurmendi

Balaam et son ânesse
Un devin soudoyé par les ennemis d’Israël, qui lui demandent de maudire « le peuple sorti d’Égypte ». Une ânesse plus récalcitrante et clairvoyante que son maître. Et qui se met à parler, en faisant reconnaître au devin son erreur. Ce récit du livre des Nombres a été parmi les plus populaires de la Bible, certainement par son sens du pittoresque et son humour. La série biblique de Jesús Asurmendi

Dieu nous précède en humanité
« Dieu partenaire de l’homme ? N’est-il pas abusif de s’exprimer ainsi ? Dieu n’est-il pas le Tout Autre ? Mais non, car rien n’est plus proche de l’homme que ces graines d’humanité semées par les paroles dites au nom du Très-Haut ». La chronique de Jean-Claude Thomas

Ah, la messe de toujours
Après le motu proprio du pape François qui limite les concessions faites par Benoît XVI, c’est le même cri ou la même antienne que l'on entend dans les milieux traditionalistes : « On nous enlève la messe de toujours ! ». De toujours ? Vraiment ? La chronique d’Alain Cabantous

Le sacré, de la séparation à la relation
L'espace sacré n'est pas l'espace du culte, du temple et de toutes les règles qui sont associées à la révérence rendue à Dieu. Le vrai sacré, selon Jésus et Isaïe, est au cœur de notre histoire humaine, là où bat le cœur de Dieu. Et selon Joseph Moingt, le sacré se situe avant tout dans la relation aux autres. L'espace sacré c'est celui que Paul appelle le corps du Christ, corps que forme la multitude de ceux qui apprennent à se conduire en frères.

Esther et un carnaval pour le salut d’Israël
déjouer un complot contre les juifs. Son histoire est célébrée lors de la fête de Pourim. « Ce récit, par le choix de la trame, par les personnages mis en scène, par le déploiement des épisodes, est un bijou. Un chef-d’œuvre, un condensé théologique », nous dit Jesús Asurmendi.