Catégorie : Chroniques

Retour du quarteron
Hasard du calendrier, le 21 avril, date anniversaire du putsch d’Alger (1961), l’hebdomadaire Valeurs actuelles publiait une tribune d’une vingtaine de généraux en retraite, laissant planer la menace, à peine voilée, d’un coup d’État.
La preuve que les vieux démons de la force brute et de l’illégalité violente sont toujours tapis dans l’ombre de l’histoire. La chronique d’Alain Cabantous

Prêches au féminin
Aux Etats-Unis, en Suisse, des groupes de femmes catholiques commentent en ligne la Parole de Dieu, et le revendiquent comme un droit. À Saint-Merry, nous le pratiquons "en live" comme une évidence. L'assemblée et le Saint-Esprit s'y retrouvent-ils ? La chronique de Blandine Ayoub

La Troisième personne, ou la fabrique du Nous
« La seule expérience que nous avons de Dieu est celle de l’Esprit Saint, car il est avec nous et il est en nous. » Selon Joseph Moingt, l’Esprit est source du « nous », troisième personne de la Trinité. Comment reconnaître ce passage de l’Esprit ? Le monde n’a jamais eu autant besoin du Souffle de l’Esprit, le troisième. Par Jean-Claude Thomas

Hypnotique : Bill Viola à Saint-Eustache
Heureuse église Saint-Eustache ! Choisie pour la retransmission télévisée de la messe de Pâque et bénéficiant du soutien de la Fondation Pinault, dont le musée voisin n’a pas encore ouvert et qui lui prête « Passage into Night », une splendide vidéo de Bill Viola, jusqu’au 2 mai. D’où vient la fascination que cette œuvre exerce ? Quelles réflexions suggère-t-elle pour Saint-Merry ? Chronique de Jean Deuzèmes.

Les murs dévastés : selon Khaled Dawwa et Brian Maguire
Ils ont fui les combats, ils sont devenus réfugiés, exilés. Ils ont laissé leur logement et leur quartier après des bombardements. Ces drames, on les connaît par les textes ou par les images des reporters. Mais comment les artistes en parlent-ils ? Quel lien établir avec Saint-Merry Hors les Murs ? Analyse de deux expositions en galerie. La chronique de Jean Deuzèmes

Une voix de fin silence
« Ceux qui se sont déjà retrouvés sur un lit d’hôpital en proie à une détresse extrême savent combien les mots peuvent être insupportables. Pour moi, la présence du Père à la croix est de cet ordre. Invisible, inaudible, « une voix de fin silence » comme pour Élie à l’Horeb ».
La chronique de Jean-Claude Thomas